Réfutations du Califat de Abû Bakr (Le Premier Calife)‎

La Preuve du Califat

L’Ejmâ’ (Le consensus unanime) des Musulmans

La Question : Est-ce que Abû Bakr (Le Premier Calife) a atteint au Califat par l’Ejmâ’ (Le consensus unanime) des Musulmans ?

La Réponse : Examiner et étudier l’Histoire de l’Islam est la meilleur preuve et témoin que, le Califat de Abû Bakr (Le Premier Calife), n’a pas été le résultat de la participation du peuple à son élection pour le gouvernement et la direction, mais seulement quatre personnes l’ont choisi, c’est-à-dire ‘Omar Ibn Khattâb et Abû ‘Obaydah d’entre des émigrants et Bachîr Ibn Sa’d et Oçîd Ibn Hodhayr d’entre des Ançâr. Les autres hommes du Tribut d’Ows, seulement, pour obéir à leur chef, Oçîd Ibn Hodhayr, ont prêté serment d’allégeance avec Abû Bakr (Le Premier Calife), pendant que les Nobles et les Grands de Compagnons et les Connus, comme, l’Imam Ali (que la paix soit sur lui), Mîqdâd, Abû Thar, Hathifat Ibn Yamân, Obyy Ibn Ka’b, Talhah, Zobayr et les dix autres personnes des Compagnons n’ont pas été présents à cette réunion. Les membres du tribut de Khazradj aussi, malgré leurs présences à Saqîfah, n’ont pas prêté serment d’allégeance avec Abû Bakr. (1) Celui qui étude et examine les événements de Saqîfah et après cela, il peut comprendre qu’il n’était pas aucun Ejmâ’ (Le consensus unanime) sur le Califat d’Abû Bakr.

 

‘Omar, lui-même, avoue que cette prêté serment d’allégeance, a été un acte sans programme et sans ordre qu’il n’a pas été fondé sur aucune base des Fondements de L’Islam et ses méthodes Sain et Légitime (Légal). « Prêter serment d’allégeance avec Abû Bakr, a été Faltah (un acte sans programme et sans ordre), que l’Ignorance a assumé la responsabilité de cet acte, Allah, qu’IL soit exalté, aussi a protégé et gardé les musulmans de son mal. »

 

De cette façon, il a conseillé aux musulmans pour éviter du choix de cette façon, parce qu’il n’était pas un bon modèle pour l’élection, même si, la nomination du califat de la manière de l’élection soit considérée comme légal et religieux.

 

Pour cette raison, il a dit : « Tuez celui qui retourne de nouveau vers cette façon. » (2)

 

Lorsque l’état de la nomination de Abû Bakr est de cette façon, le Califat des autres aussi est manifeste et claire, puisque Abû Bakr a nommé ‘Omar comme son succession, et un certains des Compagnons ont protesté à cette nomination. (3) Il est évident que, si la nomination de ‘Omar de la part de Abû Bakr a été seulement une recommandation d’un candidat, donc il n’y a pas aucune place pour la protestation des Compagnons du Messager d’Allah (que le salut de Dieu soit sur lui et sur sa Famille).

 

En outre, la nomination du troisième Calife (‘Othmân), s’est produite de la manière d’assemblée composée de six personnes qu’ils ont été nommés de la part du deuxième Calife, et c’était une sorte de la nomination du calife dont il a évité de se référer des autres aux opinions publiques. L’un des obstacles qui provoque impossible l’Ejmâ’ (Le consensus unanime) des musulmans aux côtés du monde, et cette question cause impossible ou difficile l’action de Ejmâ’ (Le consensus unanime) sur une personne définie. L’appui sur prêter serment d’allégeance des Emigrants, Ançar et leurs descendants et l’annulation des votes des autres, c’est le camouflet à la grande partie des musulmans. (4)

 

1) L’Histoire de Tabari, Vol. 3, P. 210 ; Sirah d’Ibn Hichâm, Vol. 2, P. 660.

 

2) L’explication de La Voie De L’Eloquence d’Ibn Abi al-Hadid, Vol. 1, P. 123, Publié en Egypte.

 

3) Al-Imamah Va al-Siyasah, Vol. 1, P. 24-25.

 

4) Les aspects des Croyances Chiites, P. 199.

 

Les Vertus de Abû Bakr

La description de Abû Bakr au titre d’Al-Seddîq

La Question: Est-ce que le Récit (Riwâyat) qu’il est raconté de la part des Sunnites à propos d’être véridique (Al-Seddîq) de Abû Bakr, possède-t-il de la Validité ?

 

La Réponse: Les Sunnites ont raconté d’Ibn Abbas que le Messager d’Allah (que le salut de Dieu soit sur lui et sur sa Famille) a dit que : Il n’y a pas aucun arbre sauf il est écrit sur sa chaque feuille «لا اله الاّ الله، محمّد رسول الله، ابوبكر الصديق، عمر الفاروق، عثمان ذوالنورين» (Il n’y a de Dieu que Allah, Muhammad est le Messager de Dieu, Abû Bakr est Véridique, ‘Omar est identifiant le droit de faux, ‘Othman est le propriétaire de deux lumières).

 

Nous disons dans leur réponse : Ce hadith est falsifié par ‘Ali Ibn Jamil Raqqi. Tabarâni l’a raconté et a dit : Il est falsifié, et ‘Ali Ibn Jamil est inventeur et falsificateur du hadith. Il est unique dans ce Hadith. Et il l’a volé de Ma’rouf Ibn Ma’rouf Balkhi et de ‘Abdul Aziz Ibn ‘Amro Khorâsâni qu’il est un homme inconnu. (1)

 

Abû Na’îm a raconté ce hadith comme falsifié de la part de ‘Ali Ibn Jamil. (2)

 

Et aussi, Khattali a cité par la voie de ‘Abdul Aziz Ibn ‘Amro Khorâsâni qu’il est ignorant, selon le précis et l’énonce de Thahabi. Et ce Récit est invalide et sa vermine est ‘Abdul Aziz. (3)

 

Ibn ‘Oday l’a cité par la voie de Ma’rouf Ibn Ma’rouf Balkhi, mais il a dit après la citation : « Ce Ma’rouf n’est pas connu et peut-être l’a volé de ‘Ali Ibn Jamil. » (4)

 

Thahabi aussi a dit dans « Mizân al-I’tidâl » (5) : « Ce hadith est falsifié, mais, il est connu ‘Ali Ibn Jamil. Abul Ghâsîm Bochrân l’a cité par la voie de Muhammad Ibn ‘Abd Ibn ‘A^mîr Samargandi, dans son livre Amâli. Mais il est un homme le plus menteur et le plus falsificateur du Hadith.

 

Ibn ‘Oday a dit : « Il a suivie des hadiths qu’on peut pas le suivie. » (6)

 

Khatîb Bagdâdi l’a raconté comme falsifié par la voie de Hossayn Ibn Ibrahim Ihtiyâti de ‘Ali Ibn Jamil. (7)

 

Thahabi a dit, après la citation de ce hadith de cette voie : Ce hadith est invalide et sa cause est Hossayn Ibn Ibrahim Ihtiyâti. (8) Et dit dans autre lieu : Ce hadith est invalide. (9)

 

Et aussi, Ibn Kathir l’a cité par la voie de Tabarâni dans son livre « Al-Bîdâyat va al-Nîhâyat » et puis dit : « Ce hadith est Dha’îf (faible) et il y a certains de personnes dans son sanad (la chaîne de transmission) qu’il y a des paroles autour de ces personnes et il n’est pas vide de mal. » (10) (11)

 

1) Al-Mo’jam al-Kabir, Vol. 11, P. 64, Hadith N° 11093.

 

2) Heliyat al-Owliyâ, Vol. 3, P. 304, Hadith N° 249.

 

3) Mizân al-I’tidâl, Vol. 2, P. 633, Hadith N° 5120.

 

4) Al-Kâmîl fi Dho’afâ al-Rijâl, Vol. 6, P. 325, N° 1806.

 

5) Mizân al-I’tidâl, Vol. 4, P. 145, N° 8660.

 

6) Al-Kâmîl fi Dho’afâ al-Rijâl, Vol. 5, P. 371, N° 1534.

 

7) Tâ’rîkh de Baghdâd, Vol. 5, P. 4 et Vol. 7, P. 337.

 

8) Mizân al-I’tidâl, Vol. 1, P. 540, N° 2018.

 

9) Mizân al-I’tidâl, Vol. 4, P. 146, N° 8660.

 

10) Al-Bîdâyat va al-Nîhâyat , Vol. 7, P. 230, les événements de l’année 35.

 

11) L’Imamologie et répondre