Les Parents et les Enfants
O ‘Alî! Qu’Allah maudisse les parents qui auraient conduit leur enfant à leur désobéir.(1)
O ‘Alî! Qu’Allah entoure de Sa Miséricorde des parents qui auraient conduit leur enfant à faire montre de bonté envers eux!(2)
O ‘Alî! Quiconque afflige ses parents, leur aura désobéi (attrister ses parents équivaut à leur désobéissance).(3)
Les parents assument la même responsabilité que leur enfant lorsque celui-ci est conduit à leur désobéir.(4)
Les plus grands des péchés majeurs pour Allah, le Jour du Jugement seront: le polythéisme, l’assassinat d’un croyant innocent, la fuite, le jour de la marche (combat) pour la Cause d’Allah, et la désobéissance aux parents.(5)
On dira (le Jour de la Résurrection) à celui qui aura désobéi à ses parents: «Fais tout ce que tu voudras, Je ne te pardonnerai pas …».(6)
Quiconque attriste ses parents, leur aura désobéi.(7)
Au-dessus de chaque désobéissance, il y aura une autre désobéissance (plus grave), et ce jusqu’à ce qu’un homme tue ses parents, acte au-dessus duquel il n’y aura plus de désobéissance.(8)
Le droit du père sur le fils est que celui-ci doit observer une attitude de recueillement lorsqu’il (le père) est en colère.(9)
Le fils a le droit sur le père de lui apprendre à écrire, à nager, à tirer et de ne lui offrir que la subsistance légale.(10)
Le fils a trois droits sur son père: lui donner un bon nom, lui apprendre à écrire et de le marier à sa majorité.(11)
Quiconque omet de marier son fils qui a atteint l’âge de mariage, tout en ayant la possibilité de le faire, sera responsable de ses péchés, s’il (le fils) venait à en commettre.(12)
Qu’Allah entoure de Sa Miséricorde quiconque aide son fils à être obéissant (envers lui) en lui pardonnant un mal commis et en priant Allah pour lui, à son insu.(13)
Aimez les enfants et soyez compatissants envers eux.(14)
* Un jour le Messager d’Allah (P) a vu ‘Othmân Ibn Madh’ûn en train d’embrasser sans cesse son petit garçon. Il lui a demandé alors: «Est-ce ton fils ?». «Oui», a-t-il répondu. «O ‘Othmân, l’aimes-tu donc autant ?» l’a interrogé le Prophète (P). «Eh oui, certes, O Messager d’Allah, je l’aime beaucoup!», a répondu Ibn Madh’ûn. «Ne voudrais-tu pas que je te le fasse aimer encore plus?», proposa le Prophète (P). «Si -que mon père et ma mère te soient sacrifiés!», a-t-il répondu.
Le Messager d’Allah a dit alors:
«Quiconque s’efforce de contenter un petit garçon de sa progéniture jusqu’à ce qu’il soit satisfait, Allah lui offrira, le Jour de la Résurrection, tout ce qu’il désirerait jusqu’à ce qu’il soit satisfait».(15)
Quiconque embrasse son enfant, Allah lui décerne la récompense d’un bon acte, et quiconque le réjouit, Allah le réjouira le Jour de la Résurrection.(16)
* Un homme est venu voir le Prophète (P) et lui a dit: «Je n’ai jamais embrassé un petit garçon». Lorsqu’il est parti, le Messager d’Allah a dit: «Pour moi, cet homme sera au nombre des habitants de l’Enfer».(17)
* Un jour alors que le Prophète (P) embrassait al-Hassan et al-Hussain, (ses deux petits-fils), al-Aqra’ Ibn Hâbis lui dit: «J’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé aucun d’eux!». Le Prophète lui répondit:
«Ce n’est pas de ma faute si Allah a ôté de ton cur la pitié».(18)
Honorez vos enfants et assurez-leur une bonne éducation.(19)
Cultivez chez vos enfants trois qualités: l’amour de votre Prophète, l’amour de sa Famille et la lecture du Coran.(20)
Un père ne pourra jamais offrir à son enfant un cadeau meilleur qu’une bonne éducation.(21)
Demandez à vos enfants d’accomplir la Prière à l’âge de sept ans, et lorsqu’ils auront dix ans, forcez-les à l’accomplir, et faites-les coucher sur des lits séparés d’autre part.(22)
Considère ton enfant comme maître(23) jusqu’à l’âge de sept ans, serviteur(24) pendant les sept ans suivants, et vizir(25) pendant les sept années d’après. Si à l’âge de vingt et un ans tu n’auras pas réussi à en faire un bon conseiller, tape sur son épaule (en guise de dégagement de ta responsabilité), car tu te seras dégagé de ta responsabilité envers lui vis-à-vis d’Allah.(26)
Un enfant bon est un bouquet parmi les bouquets du Paradis.(27)
Un enfant bon est un bouquet d’Allah qui l’a réparti entre Ses serviteurs.(28)
Le bonheur de l’homme c’est d’avoir un enfant bon.(29)
‘Issâ Ibn Maryam (Jésus fils de Marie (P)) passa un jour près d’un tombeau dont l’occupant était soumis à la torture. L’année suivante il passa près du même tombeau et remarqua que son occupant n’était plus supplicié. Issâ (P) demanda alors (à son Seigneur): «O Seigneur! J’étais passé près de ce tombeau l’année dernière et j’avais constaté que son occupant était torturé, et j’y suis passé encore cette année j’ai vu qu’il n’était plus torturé». Dieu – IL est Très-Haut – lui inspira alors: «O Rûh-ullâh (Esprit de Dieu)! Le fils bon du supplicié l’a secouru en réparant une voie et en donnant refuge à un orphelin. Aussi lui ai-Je pardonné grâce à la bonne action de son fils».(30)
L’Équité envers les Enfants
Craignez Allah et traitez vos enfants d’une façon égale (sans montrer des préférences).(31)
Les enfants ont le droit sur toi dêtre traités d’une façon égale, tout comme tu as sur eux le droit qu’ils se montrent bons envers toi.(32)
Allah aime que vous soyez équitables envers vos enfants, même dans les baisers que vous leur donneriez.(33)
Soyez équitables envers vos enfants dans la distribution de dons, tout comme vous aimeriez qu’ils soient équitables envers vous (le père et la mère) dans la bonté et la douceur.(34)
Les Mérites des Filles
Ne détestez pas les filles, car elles sont affables et chéries.(35)
Celui pour qui est née une fille et qui ne lui fait pas de mal, ni ne l’humilie, ni ne lui préfère ses enfants mâles, Allah le fera entrer au Paradis.(36)
Quiconque a une fille à qui il donne une bonne éducation, une bonne instruction, et une large part des bienfaits qu’Allah lui a octroyés, elle lui servira de rideau et de protection le mettant à l’abri du Feu.(37)
Quelle excellente progéniture que les filles qui se mettent à l’abri des regards. Quiconque a une telle fille, Allah en fait (pour lui) une protection contre le Feu.(38)
Allah – IL est Béni et Très-Haut – est plus Compatissant avec les femelles que les mâles. Il n’y a pas un homme qui apporte une joie à une femme mahram (une proche parente: fille, sur, mère), sans qu’Allah – le Très-Haut – ne lui apporte la joie le Jour de la Résurrection.(39)
Soyez équitables dans la distribution de dons entre vos enfants. Si je devais avoir une préférence envers une partie d’entre eux, ce serait envers les filles.(40)
LES SOURCES:
1. “Makârim al-Akhlâq”, op. cit., p. 443.
2. Idem, p. 443.
3. Idem, p. 444.
4. Idem, p. 443.
5. 396. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 208.
6. 397. Ibid.
7. 398. Ibid.
8. 399. Ibid.
9. 400. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 209.
10. 401. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 210.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 211.
14. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 212.
15. 406. Ibid.
16. 407. Ibid.
17. 408. Ibid.
18. 409. Ibid.
19. 410. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 213.
20. 411. Ibid.
21. 412. Ibid.
22. 413. Ibid.
23. 414. Maître pendant les sept premières années de sa vie, veut dire qu’on devrait satisfaire tous ses désirs et demandes acceptables.
24. 415. Serviteur, dans le sens qu’on l’oblige à obéir aux ordres et instructions que les parents lui donnent.
25. 416. Vizir, dans le sens de conseiller.
26. 417. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 213.
27. 418. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 216.
28. 419. Ibid.
29. 420. Ibid.
30. 421. Ibid.
31. 422. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 219.
32. 423. Ibid.
33. 424. Ibid.
24. 425. Ibid.
35. 426. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 217.
36. 427. Ibid.
37. 428. Ibid.
38. 429. Ibid.
39. 430. Ibid.
4à. 431. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 219.
Nov 29 2021
Les Parents et les Enfants
Les Parents et les Enfants
O ‘Alî! Qu’Allah maudisse les parents qui auraient conduit leur enfant à leur désobéir.(1)
O ‘Alî! Qu’Allah entoure de Sa Miséricorde des parents qui auraient conduit leur enfant à faire montre de bonté envers eux!(2)
O ‘Alî! Quiconque afflige ses parents, leur aura désobéi (attrister ses parents équivaut à leur désobéissance).(3)
Les parents assument la même responsabilité que leur enfant lorsque celui-ci est conduit à leur désobéir.(4)
Les plus grands des péchés majeurs pour Allah, le Jour du Jugement seront: le polythéisme, l’assassinat d’un croyant innocent, la fuite, le jour de la marche (combat) pour la Cause d’Allah, et la désobéissance aux parents.(5)
On dira (le Jour de la Résurrection) à celui qui aura désobéi à ses parents: «Fais tout ce que tu voudras, Je ne te pardonnerai pas …».(6)
Quiconque attriste ses parents, leur aura désobéi.(7)
Au-dessus de chaque désobéissance, il y aura une autre désobéissance (plus grave), et ce jusqu’à ce qu’un homme tue ses parents, acte au-dessus duquel il n’y aura plus de désobéissance.(8)
Le droit du père sur le fils est que celui-ci doit observer une attitude de recueillement lorsqu’il (le père) est en colère.(9)
Le fils a le droit sur le père de lui apprendre à écrire, à nager, à tirer et de ne lui offrir que la subsistance légale.(10)
Le fils a trois droits sur son père: lui donner un bon nom, lui apprendre à écrire et de le marier à sa majorité.(11)
Quiconque omet de marier son fils qui a atteint l’âge de mariage, tout en ayant la possibilité de le faire, sera responsable de ses péchés, s’il (le fils) venait à en commettre.(12)
Qu’Allah entoure de Sa Miséricorde quiconque aide son fils à être obéissant (envers lui) en lui pardonnant un mal commis et en priant Allah pour lui, à son insu.(13)
Aimez les enfants et soyez compatissants envers eux.(14)
* Un jour le Messager d’Allah (P) a vu ‘Othmân Ibn Madh’ûn en train d’embrasser sans cesse son petit garçon. Il lui a demandé alors: «Est-ce ton fils ?». «Oui», a-t-il répondu. «O ‘Othmân, l’aimes-tu donc autant ?» l’a interrogé le Prophète (P). «Eh oui, certes, O Messager d’Allah, je l’aime beaucoup!», a répondu Ibn Madh’ûn. «Ne voudrais-tu pas que je te le fasse aimer encore plus?», proposa le Prophète (P). «Si -que mon père et ma mère te soient sacrifiés!», a-t-il répondu.
Le Messager d’Allah a dit alors:
«Quiconque s’efforce de contenter un petit garçon de sa progéniture jusqu’à ce qu’il soit satisfait, Allah lui offrira, le Jour de la Résurrection, tout ce qu’il désirerait jusqu’à ce qu’il soit satisfait».(15)
Quiconque embrasse son enfant, Allah lui décerne la récompense d’un bon acte, et quiconque le réjouit, Allah le réjouira le Jour de la Résurrection.(16)
* Un homme est venu voir le Prophète (P) et lui a dit: «Je n’ai jamais embrassé un petit garçon». Lorsqu’il est parti, le Messager d’Allah a dit: «Pour moi, cet homme sera au nombre des habitants de l’Enfer».(17)
* Un jour alors que le Prophète (P) embrassait al-Hassan et al-Hussain, (ses deux petits-fils), al-Aqra’ Ibn Hâbis lui dit: «J’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé aucun d’eux!». Le Prophète lui répondit:
«Ce n’est pas de ma faute si Allah a ôté de ton cur la pitié».(18)
Honorez vos enfants et assurez-leur une bonne éducation.(19)
Cultivez chez vos enfants trois qualités: l’amour de votre Prophète, l’amour de sa Famille et la lecture du Coran.(20)
Un père ne pourra jamais offrir à son enfant un cadeau meilleur qu’une bonne éducation.(21)
Demandez à vos enfants d’accomplir la Prière à l’âge de sept ans, et lorsqu’ils auront dix ans, forcez-les à l’accomplir, et faites-les coucher sur des lits séparés d’autre part.(22)
Considère ton enfant comme maître(23) jusqu’à l’âge de sept ans, serviteur(24) pendant les sept ans suivants, et vizir(25) pendant les sept années d’après. Si à l’âge de vingt et un ans tu n’auras pas réussi à en faire un bon conseiller, tape sur son épaule (en guise de dégagement de ta responsabilité), car tu te seras dégagé de ta responsabilité envers lui vis-à-vis d’Allah.(26)
Un enfant bon est un bouquet parmi les bouquets du Paradis.(27)
Un enfant bon est un bouquet d’Allah qui l’a réparti entre Ses serviteurs.(28)
Le bonheur de l’homme c’est d’avoir un enfant bon.(29)
‘Issâ Ibn Maryam (Jésus fils de Marie (P)) passa un jour près d’un tombeau dont l’occupant était soumis à la torture. L’année suivante il passa près du même tombeau et remarqua que son occupant n’était plus supplicié. Issâ (P) demanda alors (à son Seigneur): «O Seigneur! J’étais passé près de ce tombeau l’année dernière et j’avais constaté que son occupant était torturé, et j’y suis passé encore cette année j’ai vu qu’il n’était plus torturé». Dieu – IL est Très-Haut – lui inspira alors: «O Rûh-ullâh (Esprit de Dieu)! Le fils bon du supplicié l’a secouru en réparant une voie et en donnant refuge à un orphelin. Aussi lui ai-Je pardonné grâce à la bonne action de son fils».(30)
L’Équité envers les Enfants
Craignez Allah et traitez vos enfants d’une façon égale (sans montrer des préférences).(31)
Les enfants ont le droit sur toi dêtre traités d’une façon égale, tout comme tu as sur eux le droit qu’ils se montrent bons envers toi.(32)
Allah aime que vous soyez équitables envers vos enfants, même dans les baisers que vous leur donneriez.(33)
Soyez équitables envers vos enfants dans la distribution de dons, tout comme vous aimeriez qu’ils soient équitables envers vous (le père et la mère) dans la bonté et la douceur.(34)
Les Mérites des Filles
Ne détestez pas les filles, car elles sont affables et chéries.(35)
Celui pour qui est née une fille et qui ne lui fait pas de mal, ni ne l’humilie, ni ne lui préfère ses enfants mâles, Allah le fera entrer au Paradis.(36)
Quiconque a une fille à qui il donne une bonne éducation, une bonne instruction, et une large part des bienfaits qu’Allah lui a octroyés, elle lui servira de rideau et de protection le mettant à l’abri du Feu.(37)
Quelle excellente progéniture que les filles qui se mettent à l’abri des regards. Quiconque a une telle fille, Allah en fait (pour lui) une protection contre le Feu.(38)
Allah – IL est Béni et Très-Haut – est plus Compatissant avec les femelles que les mâles. Il n’y a pas un homme qui apporte une joie à une femme mahram (une proche parente: fille, sur, mère), sans qu’Allah – le Très-Haut – ne lui apporte la joie le Jour de la Résurrection.(39)
Soyez équitables dans la distribution de dons entre vos enfants. Si je devais avoir une préférence envers une partie d’entre eux, ce serait envers les filles.(40)
LES SOURCES:
1. “Makârim al-Akhlâq”, op. cit., p. 443.
2. Idem, p. 443.
3. Idem, p. 444.
4. Idem, p. 443.
5. 396. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 208.
6. 397. Ibid.
7. 398. Ibid.
8. 399. Ibid.
9. 400. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 209.
10. 401. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 210.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 211.
14. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 212.
15. 406. Ibid.
16. 407. Ibid.
17. 408. Ibid.
18. 409. Ibid.
19. 410. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 213.
20. 411. Ibid.
21. 412. Ibid.
22. 413. Ibid.
23. 414. Maître pendant les sept premières années de sa vie, veut dire qu’on devrait satisfaire tous ses désirs et demandes acceptables.
24. 415. Serviteur, dans le sens qu’on l’oblige à obéir aux ordres et instructions que les parents lui donnent.
25. 416. Vizir, dans le sens de conseiller.
26. 417. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 213.
27. 418. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 216.
28. 419. Ibid.
29. 420. Ibid.
30. 421. Ibid.
31. 422. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 219.
32. 423. Ibid.
33. 424. Ibid.
24. 425. Ibid.
35. 426. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 217.
36. 427. Ibid.
37. 428. Ibid.
38. 429. Ibid.
39. 430. Ibid.
4à. 431. Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn”, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 219.
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